friday 26th february, 2010.
All your life in a little box. A little and tinny box. It holds several years and quite a lot of joy and tears. That’s what my luggage make me think about. We are all wonderful materialists. Because an object make us accept that the life is just dust. That the memory of you and me going to be blur and will disappear. So we kept a teddy bear, your grand ma necklace, and a sepia picture. That’s how we climb to the unacceptability of life.
I choose a necklace and a camera. Because without the first one, I’m too far away from my two moms. The star and the sun around my neck. And without the second one, I’ll be sick. Of melancholia. I take a picture, saying to me that I did my best to keep it eternal.
We are all playing a part. That’s what a Chinese biscuit learn me in Leicester square. Mine become better. I’m the sweetest nanny in the market. But how much it can become real. Thanks Dexter to ask me that. Is that really me? This change of mask is not my own. And I know when they speak with me, they have one. The kind of model's parent and lovely boss. There is only the little monsters who didn’t hide. they know how to say "I hate you" and don’t be ashamed of that. They accept what they are unaware.
It’s made me confuse about that I am. A nanny or a bat. I’m feeling well in both of them without being a part of it.
This is not a article. Even that I’m writing is only lies. Because writing requires objectivity we will never have on our self. We can just invent another we. A clone, more perfect. But actually the true, we don’t really care about. There is so different one and I don’t see even one in your eyes. And don’t tell me you’re running after that because that’s mean you’re a liar. And you just have to dance little liar.
i start to frequent the underworld. The one over the top. The light that make you blind. Pills and champagne. I lose balance on heels. I’m a mouse who hope to find the cat. I enjoy it. I admit it. I’m even maybe addict. I become a teenager again and it’s not a good thing. I let myself be intoxicated, his lips on my forehead.
xxx.
with love.
vendredi 26 février.
Toute sa vie dans une boite. Une petite et minuscule boite. Qui contient plusieurs année et pas mal de joie et de larmes. C’est ce que me fait penser ma valise. On est tous de magnifiques materialiste. Parce qu’on objet nous permet d’acccpter que la vie n’est que poussiére qu’un jour le souvenir de nous deux deviendra flou et qu’il disparaitra. Alors on garde une peluche, le collier de la grand mére ou une photo jaunit. C’est ce qui nous raccroche a l’inacceptable de la vie.
Moi j’ai choisi un collier et un appareil photo. Parce que sans le premier, je me sens trop loin de mes deux mamans. L’étoile et le soleil autour du cou. Et sans le second, je tomberais malade. De mélancolie. Je prend un photo en me disant que j’aurais fait de mon mieux pour que cela reste éternel.
Nous jouons tous un rôle. C’est ce que ma appris un biscuit chinois a leicerter square. Le mien se perfectionne. Je deviens la nanny la plus douce du marché. Mais à quel point cela devient il authentique. Merci dexter de me poser la question. Est ce que cela est vraiment moi. Ce changement de masque ne m’est pas propre. Et je sais que quand je leur parle ils en n’ont un. Celui des parents models et patron aimant. Il n’y a que les petits montres qui ne se cachent pas. Ils savent dire je te déteste et ne pas en rougir. Ils acceptent ce dont ils n’ont pas conscience.
Cela m’embrouille sur ce que je suis vraiment. Une nounou ou une chauve souris. Je me sens bien dans les deux sans en faire parti pour autant.
Ceci n’est pas un article. même ce que j’écris n’est que mensonge. Parce que l’écriture neccésite une objectivité que nous n’aurons jamais sur nous même. On ne peut que s’inventé un autre nous. Un clone, plus parfait. Mais en réalité la vérite, quelle importance. Il y en a tellement et je n’en vois aucune dans tes yeux. Et ne me dit pas que vous la cherché parce que cela veut dire que vous étes un menteur. Et tu n’as juste qu’a danser petit menteur.
Je commence a fréquenter le milieu. Celui d’haut dessus. De la lumiére qui aveugle. Des pillules et du champagne. Je pers l’équilibre sur mes talons. Je suis une souris qui espère trouver le chat. J’aime ca .je le reconnaît. J’en suis peut être même accro. Je redeviens adolescente et ce n’est pas bon. Et je me laisse enivrer, ses lévres sur mon front.
bises bises.
