monday 5 october 2009
i was born under the eyes of the Dalai Lama, and nevertheless i don't inherit of his wisdom nor his patience. i'm the only living girl in London.
sometime you need to hear some sad song, because you are too happy to see the sadness around you. it's always the same. everything is connect. you can enjoy the pleasure to walk near to the canal of camden, in a sunny afternoon, if yesterday you didn't hide your tears behind the rain, under the eyes of the oxford's shark. so yes ,i'm crying, even if i'm in london and even if I realised my dreams. but it's the reason why i'm happy, I cry and I laught, I speak and I shout. i'm alive, i'm no more a tourist near to big ben. now i'm a londoner who take the underground because he have to work. the amazing London, I fantasized, died, and after. my town. only my town, live yours.
met people. the hardest think in the world. and you think about it every where and every time. because you realise that the relationsheep is an important think. everything is behind me. there is an army behind my back. little by little I accept to be naked.
you know when you do something wrong. inside, you can hear "it's a mistake". but you do it, because you need it. and when you wke up in a hotel, you feel free. in the stairs, you're thinking when you will tell to your children this story, and the others. all these mistakes that build you.
and when you need space. take a bus. any one. it's doesn't matter. just enjoy the journey.
your eyes are hungry of knowledge. and this bitter taste in the bottom of the gorge, is called autonomy. one month. before the big travel, you think you kown all about it. you can see you with the familly and your friends. your perfect english. and you're wrong, of course. and it's better than you can imagine. savour the surprise like a victory.
xoxo
lundi 5 octobre 2009
je suis née sous le regard du Dalai Lama, et néanmoins je n'ai pas hérité de sa sagesse, ni de sa patience. je suis la fille vivant seule a Londres.
parfois tu as besoin d'écouter des chansons tristes. parce que t'es trop heureuse pour te rendre compte de la tristesse qui t'entoure. c'est toujours la même chose. tout est connecté. tu ne peux pas profiter du plaisir de marcher prés du canal de Camden, un aprés midi ensoleillé si la veille tu n'as pas caché tes larmes derrière la pluie, sous le regard du requin de Oxford. donc oui, je pleurs même si je suis a Londres et même si je suis en train de réaliser mes rêves. mais c'est la raison pour laquelle je suis heureuse, je pleurs et je ris, je parle et je cris. je suis vivante, je ne sus plus un tourist a côté de Big Ben. maintenant je suis comme un londonien qui prend le métro parce qu'il doit travailler. le londres fabuleux, que j'ai fantasmé, est mort, et aprés. ma ville. seulement ma ville, comme la tienne.
rencontrer des gens. la chose la plus dure au monde. et tu pense a de partout et tout le temps. parce que tu réalise que les relations sont quelques chose d'important. tout est derrière moi. il y a une armée dans mon dos. petit à petit j'accepte d'être nue.
tu sais quand tu fais quelque chose de mal. a l'intérieur, tu peux entendre " c'est une erreur". mais tu le fais, parce que tu en a besoin. et quand tu te réveille dans un hotel, tu te sens libre. dans les escaliers, tu pense a quand tu racontera cette histoire a tes enfants, et les autres. toutes ces erreurs qui te construisent.
et quand tu as besoin d'espace. prend un bus. n'importe lequel. ca n'a pas d'importance. juste apprécie le voyage. tes yeux ont faim de savoir. et ce gout amer au fond de la gorges, c'est l'autonomie. un mois. avant le grand voyage, tu pense que tu sais tout. tu te vois avec la famille, tes amis. ton parfait anglais. et tu as tord, évidemment. et c'est mieux que ce que tu imaginais. savourer la surprise comme une victoire.
bises bises
xoxo
lundi 5 octobre 2009
je suis née sous le regard du Dalai Lama, et néanmoins je n'ai pas hérité de sa sagesse, ni de sa patience. je suis la fille vivant seule a Londres.
parfois tu as besoin d'écouter des chansons tristes. parce que t'es trop heureuse pour te rendre compte de la tristesse qui t'entoure. c'est toujours la même chose. tout est connecté. tu ne peux pas profiter du plaisir de marcher prés du canal de Camden, un aprés midi ensoleillé si la veille tu n'as pas caché tes larmes derrière la pluie, sous le regard du requin de Oxford. donc oui, je pleurs même si je suis a Londres et même si je suis en train de réaliser mes rêves. mais c'est la raison pour laquelle je suis heureuse, je pleurs et je ris, je parle et je cris. je suis vivante, je ne sus plus un tourist a côté de Big Ben. maintenant je suis comme un londonien qui prend le métro parce qu'il doit travailler. le londres fabuleux, que j'ai fantasmé, est mort, et aprés. ma ville. seulement ma ville, comme la tienne.
rencontrer des gens. la chose la plus dure au monde. et tu pense a de partout et tout le temps. parce que tu réalise que les relations sont quelques chose d'important. tout est derrière moi. il y a une armée dans mon dos. petit à petit j'accepte d'être nue.
tu sais quand tu fais quelque chose de mal. a l'intérieur, tu peux entendre " c'est une erreur". mais tu le fais, parce que tu en a besoin. et quand tu te réveille dans un hotel, tu te sens libre. dans les escaliers, tu pense a quand tu racontera cette histoire a tes enfants, et les autres. toutes ces erreurs qui te construisent.
et quand tu as besoin d'espace. prend un bus. n'importe lequel. ca n'a pas d'importance. juste apprécie le voyage. tes yeux ont faim de savoir. et ce gout amer au fond de la gorges, c'est l'autonomie. un mois. avant le grand voyage, tu pense que tu sais tout. tu te vois avec la famille, tes amis. ton parfait anglais. et tu as tord, évidemment. et c'est mieux que ce que tu imaginais. savourer la surprise comme une victoire.
bises bises
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